Startdoc Premium : offre d'essai à 1.79€/48h puis 39€/mois

Offre d'essai promotionnelle pour tester les services de startdoc.fr et valable jusqu'au 31/12/2024.Au delà de l'offre d'essai et sans résiliation durant cette période, l'abonnement se prolonge automatiquement au tarif de 39€/mois. Détail des conditions commerciales et tarifaires de l'offre en bas de cette page.

Lettre:

Lettre de mise en demeure de payer

Téléchargez immédiatement en ligne ce modèle de document

Startdoc Premium : offre d'essai de 1.79€ pour 48h, puis 39€ par mois sans obligation de reconduction

Accès illimité à la bibliothèque de documents types et envoi illimité de courrier avec AR (réservé aux particuliers)

Téléchargez en ligne ce document

Lettre de mise en demeure de payer

Informations personnelles :

En validant, je déclare accepter sans réserve les Conditions Générales et la Politique de confidentialité de startdoc.fr. En validant les informations, je confirme commander un accès Startdoc Premium avec une offre d’essai promotionnelle pour un abonnement mensuel à durée indéterminée au tarif de 1.79€ TTC pour 48 heures, puis au tarif de 39€ TTC par mois par la suite. Au-delà de l’offre d’essai et sans résiliation de ma part durant cette période, j'autorise startdoc.fr à prélever chaque mois à date anniversaire le montant de l'abonnement sur la carte bancaire ayant servi au paiement de l'offre d'essai. Si je ne veux pas accéder immédiatement aux documents, mais seulement à l'issue du délai de rétraction de 14 jours, cliquez ici.
Lettre de mise en demeure de payer

Lettre de mise en demeure de payer

Un tiers vous est redevable d'une dette, ce document vous aidera pour récupérer votre dû.

Lettre de mise en demeure de payer

Sommaire

Dernière mise à jour: 29/10/2024

La lettre de mise en demeure de payer est l’option qui arrive suite à l’envoi de multiples relances. Alors, dans l’hypothèse où la seconde lettre de relance ne fut d’aucune utilité, le créancier peut mettre son débiteur en demeure de payer. 

À la différence des relances par courrier, téléphone ou visite, la mise en demeure de payer produit des effets juridiques stricts.

Télécharger la lettre

La mise en demeure de payer, qu’est-ce que c’est ?

La mise en demeure de payer est l’acte officiel juridique préalable à la poursuite en justice pour impayé. Dans l’hypothèse où un débiteur n’honore pas sa dette, la mise en demeure de payer est un bon moyen d’effectuer une demande. Mais pourquoi ?

Elle a plusieurs avantages :

  • Elle est, en effet, rapide et simple à rédiger ;

Télécharger le modèle de mise en demeure

  • Sa force juridique : elle pourra faire partie des preuves et éléments du dossier en cas de litige futur ;
  • Elle reste amicale et met la pression au débiteur sans avoir à agir en justice ;
  • En complément de cela, elle est plus économique et moins contraignante qu’une demande officielle en justice. 

Comment envoyer sa mise en demeure de payer ? 

Le créditeur peut donc envoyer sa mise en demeure de payer de diverses manières quand il l’estime nécessaire. Pour ce faire, il peut envoyer sa demande via :

  • Acte signifié par un huissier ou par tout acte équivalent : une citation en justice, une lettre recommandée avec accusé de réception ou une lettre simple mettant en demeure le débiteur de payer ;
  • Lettre recommandée avec accusé de réception ;
  • Automatiquement via les conditions générales et avec pour donnée la seule échéance de la créance. 

À ce jour, on conseille d’envoyer cette demande via lettre avec accusé de réception pour plusieurs raisons :

  • C’est plus rapide et plus efficace ;
  • Cette méthode est particulièrement appréciée par les tribunaux de commerce ;
  • La loi protège le créancier qui a envoyé une LRAR a son débiteur. La mise en demeure peut d’ailleurs résulter de la loi. 

Que doit contenir cette demande officielle de paiement ?

Afin de rédiger une lettre efficace et qui aura force probatoire, celle-ci doit mentionner :

  • Le terme « mise en demeure », dans son en-tête ou dans l’objet principal,
  • La date de sa rédaction,
  • Les coordonnées du créancier (la mention du numéro d’immatriculation, de la forme juridique et du capital social de l’entreprise n’est en revanche pas obligatoire),
  • La nature et les détails de l’impayé (montant, n° de facture, date normale de paiement…),
  • Les derniers souhaits et délais maximaux que le créancier laisse à son débiteur pour payer sa facture,
  • Ce que le débiteur risque en cas de non-paiement réitéré, comme, par exemple, agir en justice contre le débiteur.